Les trucs qui on bien fonctionné durant le périple.
Sur un court séjour comme celui ci, avoir une connexion internet pour se tenir au courant de la meteo à venir et pour surveiller l'ouverture des pistes était un bon choix.
On a pu gagner du temps, et prendre les bonnes decision plus rapidement.
J'ai juste acheté sur place une carte SIM avec le minimum de forfait 4G.
Autre point important, le comfort des pieds.
Je suis parti avec cette seule paire de chaussure de velo (en plus des crocs pour le bivouac).
Je cherchait une paire de chaussure comfortable acceptant des cales pour pedale auto et qui me permettrait de marcher sans problème , voir de randonner sur de petite distance.
je les ai gardé aux pieds pendant 11 jours, j'était vraiment bien dedans.
Elles vont tres bien pour pedaler bien sur, mais elles ne sont pas ridicule non plus pour marcher.
Question bouffe. J'avais emmené des plats lyophilisés et des barres de cereales aux noix.
C'était mes premiers lyophilisé, et c'est une bonne surprise, c'est pratique, c'est plutôt bon et c'est vite preparé, meme sous les rafale de vent.
On a fait la moitiés de nos repas avec (plutôt le midi du coup) et le soir on cuisinait normalement.
Quand aux barres aux noix, c'est presque une friandise tellement c'est bon!
Energie nomade. J'ai eu en pret un panneau solaire de 6W.
Etant donné qu'il y a beaucoup de lumiere en Islande à cette periode de l'année , il a été tres facile de recharger le GPS ou la petite batterie annexe.
Ciel degagé : la recharge de la batterie de 1100 mAh etait bouclé en 3 à 4 heures.
Soleil voilé : environ deux fois plus long que si le temps est degagé.
Ciel bouché de nuage : ca marche plus.
Les cartes papiers au 1/100000 . Meme si elles sont incompletes ou pas à jour, elles nous on permis de nous retrouver autant de des situations merdique que sur de beaux chemins.
Dans tout les cas, on à pu eviter le maximum de route grace à elles.
Mon Salsa Mukluk.
Genial!
Meme chargé, il passe partout.
Le confort et la largeur des pneus on fait merveille.
On a pu s'offrir des pistes sablonneuse pour chevaux sans risquer la galere, juste en dégonflant les pneus.
Et si il faut faire 20 kilometres de bitumes, il suffit de regonfler un peu plus les pneus puis redescendre en pression un fois sur les chemins.
C'est pour moi une revelation, je veux plus le quitter!
Il y a quand meme des defauts.
Le boitier de pédalier bas, permet certe une bonne stabilité, mais les pedales touchent souvent les pierres.
La largeur de l'engin peut poser problème dans certaines ornières particulièrement profondes comme celles creusés par les chevaux: